Réflexion sur la fête du travail : de la surproduction à la liberté financière
La fête internationale du travail du 1er mai approche. Cette fête trouve son origine dans un événement important de 1886 aux États-Unis, où les travailleurs ont lutté pour la journée de 8 heures. À chaque fois, certains économistes proposent d'abroger le droit du travail et d'instaurer un système de libre embauche complet.
Cependant, nous devons reconnaître que les théories économiques et les économistes ont tous leur propre position. Même si cela est soigneusement dissimulé, leurs points de vue révèlent néanmoins leurs biais. La position de certains économistes tend souvent à favoriser les capitalistes ou les propriétaires d'entreprise, et on peut dire qu'ils servent les intérêts des capitalistes.
En fait, c'est le surmenage et la surproduction qui poussent les capitalistes à chercher à développer des marchés étrangers, déclenchant ainsi les guerres coloniales mondiales du 17e au 19e siècle. La production humaine peut être simplement divisée en trois phases : l'autosuffisance, la satisfaction des besoins des autres, et la production pour le profit. La troisième phase, à savoir le "mode de production capitaliste", conduit souvent à une surproduction, entraînant divers problèmes sociaux.
Dans ce mode, les capitalistes sont comme des spéculateurs à l'affût des tendances, investissant aveuglément là où ils voient des bénéfices rapides. Ce comportement conduit finalement à un surplus d'offre et à une dévaluation rapide de la valeur. Comme sur le marché des cryptomonnaies, les actifs les plus précieux sont souvent strictement limités, la rareté apportant de la valeur.
Le cœur du mode de production capitaliste réside dans le fait de "faire de l'argent" plutôt que de "faire pour l'homme". L'homme devient un outil pour réaliser des profits, et l'argent devient le maître de l'homme. Les travailleurs se réduisent à être des "outils", devant vivre à leurs propres frais, simplement pour générer plus de profits pour leur employeur.
Ainsi, ce que les capitalistes craignent le plus, c'est que les travailleurs "se la coulent douce". Si tout le monde atteint la liberté financière, qui va créer des profits pour eux ? Par conséquent, promouvoir l'idée que tout le monde peut obtenir une "liberté financière" sans travailler, ressemble souvent à un piège intellectuel.
Pour une personne ordinaire, comment chercher une percée dans ce système ? Peut-être que la réponse est : voir le problème d'un point de vue plus élevé, éviter de tomber dans l'auto-exploitation. Dans cette ère de surproduction et de surémission, détenir des actifs rares pourrait être un choix judicieux.
Pendant les vacances du 1er mai, il peut être utile de réfléchir à comment atteindre une véritable liberté financière, plutôt que de devenir un outil pour les profits des autres.
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De la surproduction à la rareté des actifs : l'Apocalypse du Travail
Réflexion sur la fête du travail : de la surproduction à la liberté financière
La fête internationale du travail du 1er mai approche. Cette fête trouve son origine dans un événement important de 1886 aux États-Unis, où les travailleurs ont lutté pour la journée de 8 heures. À chaque fois, certains économistes proposent d'abroger le droit du travail et d'instaurer un système de libre embauche complet.
Cependant, nous devons reconnaître que les théories économiques et les économistes ont tous leur propre position. Même si cela est soigneusement dissimulé, leurs points de vue révèlent néanmoins leurs biais. La position de certains économistes tend souvent à favoriser les capitalistes ou les propriétaires d'entreprise, et on peut dire qu'ils servent les intérêts des capitalistes.
En fait, c'est le surmenage et la surproduction qui poussent les capitalistes à chercher à développer des marchés étrangers, déclenchant ainsi les guerres coloniales mondiales du 17e au 19e siècle. La production humaine peut être simplement divisée en trois phases : l'autosuffisance, la satisfaction des besoins des autres, et la production pour le profit. La troisième phase, à savoir le "mode de production capitaliste", conduit souvent à une surproduction, entraînant divers problèmes sociaux.
Dans ce mode, les capitalistes sont comme des spéculateurs à l'affût des tendances, investissant aveuglément là où ils voient des bénéfices rapides. Ce comportement conduit finalement à un surplus d'offre et à une dévaluation rapide de la valeur. Comme sur le marché des cryptomonnaies, les actifs les plus précieux sont souvent strictement limités, la rareté apportant de la valeur.
Le cœur du mode de production capitaliste réside dans le fait de "faire de l'argent" plutôt que de "faire pour l'homme". L'homme devient un outil pour réaliser des profits, et l'argent devient le maître de l'homme. Les travailleurs se réduisent à être des "outils", devant vivre à leurs propres frais, simplement pour générer plus de profits pour leur employeur.
Ainsi, ce que les capitalistes craignent le plus, c'est que les travailleurs "se la coulent douce". Si tout le monde atteint la liberté financière, qui va créer des profits pour eux ? Par conséquent, promouvoir l'idée que tout le monde peut obtenir une "liberté financière" sans travailler, ressemble souvent à un piège intellectuel.
Pour une personne ordinaire, comment chercher une percée dans ce système ? Peut-être que la réponse est : voir le problème d'un point de vue plus élevé, éviter de tomber dans l'auto-exploitation. Dans cette ère de surproduction et de surémission, détenir des actifs rares pourrait être un choix judicieux.
Pendant les vacances du 1er mai, il peut être utile de réfléchir à comment atteindre une véritable liberté financière, plutôt que de devenir un outil pour les profits des autres.