Le 1er août, Paul Grewal, directeur juridique d'une plateforme d'échange, a révélé avoir déposé une motion auprès d'un tribunal fédéral, accusant la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) d'entraver systématiquement la divulgation des documents liés à l'« opération Chokepoint 2.0 ». Les documents judiciaires montrent que la FDIC, après avoir été contraint de se conformer quatre fois, refuse toujours de soumettre complètement les « lettres de suspension » demandant aux banques de suspendre leurs relations avec le chiffrement entre 2020 et 2024.
Les documents de politique interne confirment que la FDIC a ordonné à ses employés de « retenir complètement » les documents couverts par l'exception 8 de la Loi sur la liberté d'information, sans avoir à distinguer le contenu factuel du matériel analytique. Une plateforme de trading a accusé l'agence d'adopter une « interprétation extrêmement restrictive », ne recherchant que les documents soumis au bureau de l'inspecteur général, ce qui a conduit à manquer un grand nombre de dossiers clés. Lors de l'audience de janvier,